About myself

Heyo,

I would describe myself as a very thoughtful, sensitive and expressive person, who sometimes is chaotic and likes taking risks. I am a jazz musician, I love drawing and dancing, just improvise in life and feel every feeling that living can provide me. That also reflects in the way I see art and films. Watching a lot of high quality documentaries has widened my spectrum of knowledge about how good films should be made – it has raised my standarts too >:D I like documentary films because they can be the most resonating, uncomfortable and real. I am very interested in what ways this project can make me grow as a person c:

Elžbieta

My name is Ugnė, and cinema for me is a way to express myself, or perhaps it’s like a diary, to capture how I observe daily things. surrounding me everyday. Lately I’ve found out, that creating or even just watching cinema, brings the most different people together and I find that very beautiful. I feel like I still haven’t found the role I could play, while creating a movie, but I think I am getting there and this project is really helping me to find my place and to get to know myself better.

Paulius

I like good movies, computer games, and telecommunications. A few years ago, I used to make vlogs, edit them, and upload the edited content to YouTube. During this short time, I started to enjoy documentary film, and I learned that the original idea for a documentary film often changes. I also learned about poetic, observational, and expository documentary.

Aida

I love gazing at the views that my surroundings offer through the lens of a camera, and being more familiar with documentary now understand it goes beyond a jumble of imagery, it is capable of telling an inspiring story.

Hello, I’m Gabija, a film student living in Anykščiai, Lithuania. I have some history with film making and art as a whole: film camps, workshops, and since this year – classes! I tend to work more with the camera and directing, but with our current project I am forced to look at film making from a different angle. It’s a challenge, but I love those. Apart from films I enjoy philosophy, history, music, drinking tea and chemistry.

My name is Vanesa. I love listening to music, also playing different musical instruments. In my freetime I watch movies or TV series. The thing I love the most about cinema is the experience of feelling out the character’s emotions. In this short time period of learning about documentary movies, I have discovered that a documentary can be made about literally anything the most important thing is how you present it. 

Hello, I’m Ieva, a film student living in Anykščiai, Lithuania. With our current project I have learnt about the power of storytelling through real-life experiences and shaping perspectives. Although I’ve started taking film making classes this year editing has been a hobby of mine for around 5 years. Apart from films I enjoy crocheting, playing the guitar, video games and biology.

Vėtrė

Until this school year I have never really seen cinema as a form of art, especially documentaries. I‘ve never looked deeper than a surface. The documentary genre showed me the beauty of revealing emotions, complex inner world. I think a documentary lets us see someone else’s unique life without interfering with it as much as possible.

Austėja

I love going for walks, and during this time, I started observing the environment, people, and seeing documentary-like or cinematic scenes during my walks. It’s as if each step unveils a new chapter, with the world around me transforming into a living, ever-changing story waiting to be explored.

Austėja

 I enjoy watching comedy movies, even the poorly made ones. I simply love to laugh, finding joy in any situation where someone can make me happy. I believe documentaries can also be a source of humor. Interestingly, I’ve noticed a shift in my perspective towards documentaries over time. Regardless, I once disliked, or perhaps even hated them, I have now developed a fondness for this genre of films.

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Our group

The theme « Film another » will help us watch our surroundings, find it anew, what already appears familiar, in our city. By wandering we will paint our adventure’s trajectory. We will try to speak with the people we meet, listen to their stories. The ducks, living by the frozen river’s bank, invite the city dwellers to listen to their quacks and observe their being. The city’s main bridge and its passing cars create a lively artery for the noise and sight in the city. The church bells echoing loudly overlie the other noises and catch your attention. And we, the Anykščiai Jonas Biliūnas gymnasium student film group, in a gloomy winter day flew in sleds. We delve into the project by befriending each other and filming one another in close up. Exploring, being together, making cinema, finding new friends- is what we expect. We have watched many varying films, we have fulfilled our tasks, learned the basics of film making and we feel as if in a moment our long brewing movie will see the light of day. Only for a single moment- the shining sky, a random sun beam, the flocks of returning birds, the first flowers and the first sprouts of grass – and it’ll finally happen.

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2ème tournage à La Ressource

Nous avons tourné un jeudi après-midi lors de la vente. Il y avait beaucoup plus d’employés et d’activités que le jeudi après-midi. C’était l’occasion de tourner en allant capter par petits groupes, des sons et des images de ce que nous observions.

Le bruit d’un chantier de démolition d’une maison à côté nous a amené à sortir la caméra dehors sur un terrain vague . Le bruit du chantier était devenu obsédant à la Ressource. On a donc été attiré par l’activité du chantier que nous avons filmé en parallèle. C’était assez impressionnant. Il faut aussi se laisser surprendre par l’inattendu.
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Premier tournage à La Ressource

Il s’agissait de prendre en main le matériel pour la première fois et de commencer par des plans fixes, presque photographiques du lieu que nous investissons. Lors de ce tournage, un chantier de démolition se déroulait à l’extérieur et a perturbé notre prise de son à l’intérieur. Nous nous sommes dits que ce n’était peut-être pas un hasard. Après tout, peut-être que ce chantier aurait son importance dans le film. Lucas et Alexine le filmeront au 2ème jour de tournage. Il existera finalement dans notre exercice. Filmer le réel, c’est aussi laisser surgir des éléments du reel. L’univers sonore hors champ en fait partie.

L’explication de Djamila pour la prise en main de la caméra
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Le film documentaire d’animation: FLEE

Ce documentaire retrace en animation l’histoire vraie d’Amin, un réfugié afghan qui a fui son pays à la fin des années 1980 pour aller en Russie avant de rejoindre le Danemark. Le jeune homme confie un secret qu’il cachait depuis vingt ans. Le réalisateur connaît Amin depuis l’âge de 15 ans, alors qu’Amin était dans un foyer d’accueil pour mineur. A l’âge de 17 ans, Amin lui a fait comprendre qu’il était homosexuel, mais ce n’est que vers l’âge de 24 ans, alors qu’ils sont encore amis qu’Amine révèle à Jonas Poher Rasmussen sa véritable histoire depuis son départ d’Afghanistan. Jonas apprend qu’Amin a encore une famille. Il décide alors de raconter cette histoire dans un film documentaire.
Le recours à l’animation permet de n’entendre que voix d’Amin sans jamais voir son vrai visage. Ainsi, il peut témoigner, il peut partager sans jamais s’exposer. C’est un choix intéressant pour un documentaire où il s’agissait de recueillir sa parole tout en respectant son anonymat et la difficulté pour Amin de parler de son parcours. La manière de recueillir sa parole en faisant resurgir par touches des souvenirs d’enfance est assez efficace. Le réalisateur a ensuite réintroduit de la chronologie.
Il y a un double objectif dans le film: celui de montrer le parcours d’un migrant, mais aussi la construction de son identité ( d’autant plus qu’il est homosexuel et que son pays d’origine l’aurait rejeté pour cela). Dans son pays d’accueil, il rencontre l’amour de sa vie, et sa famille accepte son homosexualité.
La séquence d’ouverture avec son premier souvenir d’enfance en Afghanistan a beaucoup marqué. Elle était pleine d’énergie et d’enthousiasme, comme si la suite de son histoire allait freiner cette soif de vie. La musique qu’on entend tout d’abord « in » dans son baladeur prend de plus en plus d’ampleur et envahit tout l’espace. Elle sera stoppée de manière abrupte au moment où il pénètre dans sa maison. Le réalisateur a fait appel à l’animation sur les souvenirs qu’il n’aurait pas pu recréer avec des images réelles. D’une manière générale, reconstituer des faits réels en animation est une bonne idée pour faire ressentir des évènements, les faire revivre en dehors du simple témoignage. L’introduction d’images d’archives réelles se mêlant aux plans dessinés était assez efficaces, et rappelait de temps en temps au spectateur le contexte bien réel des scènes visionnées.
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Les repérages pour les exercices 2 et 3

Notre lieu de tournage sera la Ressource: une association qui recycle les objets, les meubles, les vêtements ou les appareils jetés ou en fin de vie et qui emploie aussi des personnes en réinsertion. Après notre première visite, deux axes de travail nous sont apparus:

Nous avons été surpris par l’immensité du lieu et l’accumulation d’objets récupérés de notre société de consommation. C’est un élément qu’il nous faudra montrer en images.

Mais ce qui est revenu aussi le plus fréquemment est la convivialité et la solidarité qui sont palpables dans ce lieu. Nous voudrions aussi montrer cela.

Un accueil de toute l’équipe très chaleureux
  • Règle du jeu EXERCICE 2

Filmer quelqu’un en choisissant quel type de rapport à lui on adoptera pour le filmage :

  • Rester totalement extérieur, sans relation.
  • Dialoguer avec lui (en imaginant selon quel dispositif)
  • Enregistrer une voix off après le filmage (sa voix à lui, ou un « commentaire » ou une « adresse »).

Règle du jeu EXERCICE 3:

Présentation d’un lieu que l’on pourrait filmer au fil des saisons pour le film-essai de fin d’année, en repérant des personnes (ou groupes de personnes) qui s’y trouvent et pourraient aussi devenir des personnages du film documentaire.

Repérages et tournages en petits groupes : chacun choisit un élément au sein du lieu.

Les enseignants et intervenants qui le souhaitent peuvent demander à leurs élèves de composer d’abord la bande-son (sons du lieu, une voix off et musique éventuellement) puis monter les images filmées.

Michel, le directeur, nous fait la visite
Il répond à toutes nos questions
La salle de pause, qui pourra nous servir de salle pour échanger et poser notre réflexion
La plus grande salle d’exposition lors des ventes qui ont lieu les mardis et jeudi après-midi
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Rencontre avec le réalisateur d’un court métrage documentaire: Quitter Chouchou

La projection a eu lieu au 102: un lieu associatif de création artistique. nous avons vu avec d’autres classes un court métrage, puis nous avons rencontré la ou le réalisateur(rice). Le 102 est un espace autogéré, fonctionnant sans subvention, occupant des locaux appartenant à la Ville de Grenoble. Depuis 1983 des associations y organisent concerts, séances de cinéma expérimental, expositions, théâtre, danse, rencontres, débats… avec pour but de faire découvrir autre chose, autrement.

Voici la description que Lucie Demange en fait: « C’est les vacances chez ma mère. L’ambiance est tendue : déjà qu’elle a du mal à accepter que je ne sois pas la fille féminine qu’elle aurait rêvé d’avoir, elle est en instance de séparation avec mon beau-père. Le séjour s’annonce mouvementé. »
(Lucie Demange)

CINEX nous a permis d’avoir un échange à la suite de la projection avec Lucie Demange.

Le film explore la question du genre et de la construction de l’identité à travers un genre autobiographique.

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Exercice 2 individuel: Filmer la singularité de l’animal

Règle du jeu: Portrait d’un animal, non pas dans ce qu’il a de familier, de proche, mais en mettant en valeur sa différence, sa singularité : son espèce animale, et ce qui le rend différent des autres animaux de son espèce… Prêter attention au son, aux détails, aux sensations.

Ce peut être un animal libre, en extérieur, ou « de compagnie » .

Pour aborder cet exercice, toute la classe a vu un extrait du film Nénette de Nicolas Philibert

Nénette https://tube-arts-lettres-sciences-humaines.apps.education.fr/w/neD1aQJPvqZXXbWmb68oiY

Décrire l’animal par fragments

Une moitié de la classe a pu voir l’extrait de Bovines d’Emmanuel Gras

Le ruminement devient une véritable singularité:cela finit par créer une sensation d’étrangeté

Quelques exemples de travaux réalisés par la classe de 2nde 1

En regardant certains des exercices réalisés, cela peut faire comprendre qu’il faut prendre en compte trois éléments de filmage: Rester à hauteur de l’objet filmé ( ne pas l’écraser, c’est à dire avec le regard de l’homme sur l’animal, mais à sa hauteur pour en retirer sa singularité et non pas la vision que l’homme en a)/ Réfléchir à la distance entre le filmeur et l’objet filmé ( il faut trouver la bonne distance pour ne pas laisser le spectateur en dehors)/ Réfléchir à son cadrage ( ce que je laisse hors champ ou pas. Qu’est-ce que cela produit comme intention?)

Plan de Justine
Plan d’Amire
Plan de Lucile
Plan de Marius
Plan d’Alexandre
Plan de Charlotte
Plan de Loïc
Plan de Lucas
Plan d’Alexine
Plan d’Anaïs
Plan de Kaïs
Plan d’Efflam
Plan de Roman
Plan de Tri
Plan de Mathilde
Plan de Marjane
Plan de Carmin
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Projection du film ADOLESCENTES

Extrait 1 revu en classe

https://tube-arts-lettres-sciences-humaines.apps.education.fr/w/dQeWHuxGH83mjybL2iCHwq

Extrait 2 revu en classe

https://tube-arts-lettres-sciences-humaines.apps.education.fr/w/6DFaT1hdv579sXNbZFVLha

Impressions post-projection sur le premier film documentaire vu dans l’année

C’est la première fois que je vois un film comme ça. Je pense qu’Adolescentes est un très bon film qui a un concept long et original. La façon de filmer est nouvelle pour moi. cette façon de filmer nous rapproche des personnages avec plus d’émotions.

Au début, j’appréhendais énormément le documentaire, mais finalement, j’ai aimé. Je porte énormément d’attention sur ce genre de film qui centre son attention sur deux personnages qui évoluent mentalement et physiquement. Le film peut avoir un impact sur nous car même si elles sont jeunes, elles nous font réaliser qu’il ne faut rien lâcher. J’en ai pris conscience grâce à ce film. Je recommande fortement. J’espère que les prochains sont exactement comme ça.

L’ambition de ce documentaire est belle en prenant de filmer sur cinq ans le quotidien de deux adolescentes ( Emma et Anaïs). Le réalisateur avait de quoi proposer un documentaire touchant et immersif. Cependant, la banalité de leur quotidien ne m’a pas captivée. lorsque les images violentes de 2015 apparaissent à l’écran, je ne vois pas le lien par rapport au regard des protagonistes. les images de leurs réactions à la suite des évènements auraient suffi. Enfin, les deux jeunes filles prennent des chemins différents, et on a l’impression que leurs retrouvailles sont mises en scène, ce qui enlève le côté authentique.

Les séquences qui m’ont le plus marquées sont celles où elles se disputent avec leurs parents, car on se met à leur place.

Ce film reflète bien la réalité adolescente et il est facile de s’identifier aux personnages. Cependant, je l’ai trouvé un peu long.

Le sujet de ce film peut toucher tout le monde. Même si le film était long, il m’a beaucoup plu. Il aborde des thématiques connues de tous: les disputes avec les parents, de l’adolescence vers l’âge adulte, l’orientation scolaire.

Ce film ne m’a pas déplu. L’idée de le faire en documentaire est vraiment super. Certains passages m’ont marqué car il m’est arrivé de me reconnaître en tant qu’adolescent. J’ai beaucoup aimé aussi l’idée de faire durer le tournage jusqu’à leur 18 ans où leur vie d’enfant est laissée pour leur vie d’adulte.

J’ai trouvé le film intrigant et intéressant car il relate une période que tout le monde traverse plus ou moins difficilement.

La particularité de ce film est qu’il ne s’agit pas d’une fiction scénarisée mais plutôt d’une chronique de la réalité, même si le format choisi est un format cinéma.

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Journées opérations cookies

Un petit retour en images de notre mobilisation pour le voyage de fin d’année à Lisbonne ! Nous cuisinons et vendons des cookies et porte clefs maison pour financer en partie notre déplacement en juin ! MERCI aux cuisiniers: Bilel, Carmin, Juliette, Charlotte Anaïs, Chloé, Lucile, et Charline. MERCI aux organisatrices : Anaïs, Mathilde et Chloé. Merci à l’équipe de l’option SI avec Mr Guichou d’avoir réfléchi à des prototypes de porte-clefs Cinéma Cent Ans de Jeunesse.

Dès 7h 20: la mise en place Mathilde, Juliette, Charlotte, Anaïs et Chloé.
Lucas, Yanis, Charline, Justine, Alexine, et Lise.
Anaïs, Chloé et Marjane
Mathilde, Juliette et Charline
Juliette, Charlotte et Mathilde
Alexine et Lucile
Lucas, Yanis et Raphaêl
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