Nós somos estudantes do oitavo ano da Escola Carlitos, um colégio pequeno localizado na região central de São Paulo. Sendo esta, a quinta maior cidade do mundo com 12 milhões de habitantes.
Este é o nosso segundo contato com o projeto de cinema : » Cent ans de jeunesse « . Será uma experiência diferente, porque em nosso quinto ano o filme foi executado on-line, devido a pandemia do COVID-19. Nossa expectativa está muito alta devido a falta da primeira experiência física.
En allant tourner au Museum d’Histoire naturelle, les élèves de l’Atelier cinéma du collège Jean Moulin de Perpignan ont rencontré Dominique, le guide du musée. Sa passion pour son métier et sa gentillesse l’ont vite désigné comme « la personne » à filmer. Une belle rencontre….
Les élèves de l’Atelier 6ème cinéma ont choisi comme lieu le Museum d’Histoire naturelle de la ville de Perpignan, situé tout à côté du collège. Ils ont choisi plusieurs thématiques pour rendre compte de ce lieu : filmer un musée merveilleux, filmer un musée inquiétant, filmer un musée qui fait « vieux », filmer un musée où les animaux ont l’air vivants, filmer un musée ouvert sur le quartier.
Notre collège se situe à Perpignan, au sud de la France, près de la frontière espagnole.
Les 21 élèves de l’Atelier cinéma 6ème du collège Jean Moulin sont issus de différentes classes. Ils sont réunis le mardi de 15h à 17h pour travailler sur le cinéma. C’est dans ce cadre qu’ils participent au projet Cinéma Cent ans de Jeunesse avec un enseignant d’histoire et de français et la réalisatrice, Anne- Laure.
Hello, we are from London Nautical School in London, just south of the River Thames. We meet every week at the BFI Southbank on a Tuesday. For some of us, this is our second year on the programme. In alphabetcial order, we are: Abu, Alid, Daniel, Darren, Freddie, Louis, Nikita, Othniel, Ralfs, Teddie, Thomas, and Tugi. Here we are below, in different stylings.
We have watched clips from films such as Nenette, Etre et Avoir, Paradise, Beppe, and D’Est. We have made some short ‘Lift’ documentaries, based on Marc Isaacs’s film of the same name, which we can share soon. And some short films about the performers in the famous Covent Garden Piazza.
La Bocca del Lupo raconte l’histoire d’Enzo et de Marie, deux anciens prisonniers rencontrés à Gênes par Pietro Marcello.
Enzo a passé la moitié de sa vie en prison, pour avoir tiré sur deux policiers, et il y a rencontré Marie, une transsexuelle toxicomane, dont il tombe aussitôt amoureux. Leur histoire est racontée dans la première moitié du film à travers un collage d’images et de voix qui la reconstitue par bribes, par morceaux, comme une mosaïque. En prison, Enzo protège Marie de ceux qui n’acceptent pas sa différence. Libérée des années avant lui, elle l’attend patiemment et lui envoie chaque jour des cassettes, où elle enregistre sa voix.
Fasciné par le détenu Enzo et son histoire d’amour romantique avec Marie, Pietro Marcello réinvente leur histoire grâce au pouvoir des archives : la matérialité de l’image et la bande sonore (les cassettes enregistrées par Mary pour Enzo en prison) devient un instrument pour redonner une dimension temporelle à l’histoire. Enzo errant, les ruelles de la vieille ville, les images d’archives et la musique s’entrecoupent à travers un montage pour construire un univers unique. Ce que le réalisateur compose peu à peu sous nos yeux, c’est un tableau de Gênes, ville portuaire, industrielle, sale. En suivant Enzo et Marie, on marche sur les docks, on s’enfonce toujours un peu plus dans les ruelles sombres, où l’on croise des marginaux, des dealers et des drogués, des prostituées. Les images d’archives se mêlent aux autres, dressant temporellement ce tableau de Gênes, exposant l’histoire de la ville, son évolution.
Dans un second temps, Enzo et Marie, dans un très long et très beau plan séquence, racontent leur histoire, face caméra. Comme s’ils témoignaient.
Face à la caméra, ils racontent leur histoire touchante. La Bocca del Lupo, c’est la gueule du loup, la prison, mais Marie nous dit aussi que c’est dans cette prison qu’elle a vécu parmi les plus beaux moments de sa vie.
L’enchevêtrement des temporalités, les croisements multiples de l’histoire et des images entrecoupées laissent un sentiment de mélancolie, le sentiment d’un jour qui s’achève, le crépuscule.
La 10e chambre, instant d’audiences est un film réalisé par Raymond Depardon en 2004 et qui dure 1h45.
LENA : Dans ce documentaire, 12 procès ont lieu dans la 10ème chambre du tribunal correctionnel de Paris. Les audiences sont variées et irrégulières, par exemple, elles peuvent avoir lieu de nuit comme de jour et pour des procès plus ou moins graves. La juge, Michèle Bernard Requin, ne change jamais. C’est elle qui s’occupe de tous les procès, elle est comme le personnage principal du documentaire, sa personnalité est mise en avant. Par contre les avocats sont différents et ne sont pas toujours compétents. Le réalisateur n’intervient pas dans le film et est placé de façon à pouvoir avoir plusieurs plans différents des accusés, de la juge, des avocats et des procureurs.
ALEXANDRE : Le réalisateur a décidé de faire de ce documentaire un film de « cinéma direct », c’est à dire un cinéma qui transmet la vérité et la réalité du déroulement du procès. Par exemple, il n’y a que trois différentes caméras et elles sont toutes immobiles et filment en permanence, une dirigée vers la juge, une autre vers l’accusé et une dernière vers la personne à la barre.
La caméra est en contre plongée pour ne pas gêner le procès qui se déroule, cette contre plongée apporte un effet d’imposant à la personne jugée comparé au plan de la juge qui est à niveau égal avec elle. Enfin, ce qui rend ce documentaire original, c’est sa simplicité, qui se transmet dans ses plans, ses interactions et son montage, malgré une complexité derrière l’organisation du tournage.
MARGUERITE : Dans La 10-ème chambre le réalisateur Raymond Depardon prend une posture d’observateur neutre. Ce film permet aux accusés de s’exprimer librement et sans jugement de la part du réalisateur, se faisant très discret durant les plaidoiries. Il nous permet de comprendre les motivations, les causes de leur non-respect de la loi tout en évitant de les juger. Le réalisateur laisse la parole a chaque personne dans la salle, les avocats, la juge, les inculpés et les victimes.
SARAH-JADE : Excepté les plans serrés sur les accusés sur lesquels nous reviendrons, on peut considérer que ce documentaire est filmé de manière très neutre. Il n’y a aucune intervention du réalisateur, ou de tout autre membre de l’équipe ni de voix off. La caméra filme ce qu’il se passe, presque comme si elle n’était pas là. Il est donc dur de juger du rapport de Depardon à son sujet puisqu’il est presque absent du film. Il est cependant probable qu’il ne connaisse pas la majorité des personnes apparaissant à l’écran car, comme évoqué précédemment, elles sont nombreuses et très différentes, d’autant plus qu’il a filmé beaucoup plus d’audiences que celles sélectionnées au montage (environ 165 personnes ont été filmés, seulement 25 sont dans le film). Cependant, il est probable qu’après tout le temps qu’il a passé sur son lieu de travail, la juge et lui se connaissent, ou du moins aient un avis l’un sur l’autre.
Le documentaire est filmé avec deux caméras et 13 micros disposés dans la salle puisque l’équipe n’avait pas le droit de percher. Une des deux caméras, en partie afin de respecter les contraintes de placement dans la salle, offre un gros plan sur les accusés à la barre en étant à leur hauteur voir en contre-plongée. C’est une particularité intéressante et qui fait que ce documentaire diffère par rapport aux films présentant des procès puisque la plupart suivent le point de vue de la juge, donc de l’institution judiciaire, en surplombant la salle et l’accusé. Ainsi, nous sommes d’avantage avec eux et leur avocat comme le réalisateur Depardon l’explique lorsqu’il raconte le tournage de son film. L’autre filmait la juge principalement et parfois le procureur, l’image proposée provient d’un de ces plans.
We are 16 pupils from grade 9 and 10 (so 14-16 years old) at the Integrated Comprehensive School (IGS) Herder. Our school is located in the centre of Frankfurt, just around the corner from the zoo.Every Tuesday we have 4 … Continuer la lecture →